J ai de l'amour à donner surtout de l'amour à recevoir {Juliya

Certains disent que l'amour est une force d'autres qu'elle est une faiblesse. J'aurais tendance à comparer l'amour à ce que je l'ai lu dans un livre que ma mère tenait ; L’amour est toujours passion et désintéressé. Il n’est jamais jaloux. L’amour n’est ni prétentieux, ni orgueilleux. Il n’est jamais grossier, ni égoïste. Il n’est pas colérique. Et il n’est pas rancunier. L’amour ne se réjouit pas de tous les péchés d’autrui. Mais trouve sa joie dans l’infinité. Il excuse tout. Il croit tout.Il espère tout. Et endure tout. Voilà ce qu’est l’amour. Voilà ce qu'est l'amour à mes yeux. Vous devez penser de moi que je suis une femme bien romantique, que je suis naïve, que je ne vois que les bons cotés à l'amour. Je ne suis pas de cet avis, je sais ce que c'est de souffrir par amour, mais vous comprendrez tout ça un peu plus tard.
Je me rappelle si bien de Vérone, ses rues et ses maisons en pierre et cette odeur permanente du bon pain qui cuit. Je me souviens aussi des jeux que nous faisions près de la fontaine ma soeur et moi non loin l'une de l'autre. Peu de différences nous séparent et depuis notre tendre enfance nous ne lassons jamais de passer du temps ensemble. Notre chère mère une femme chrétienne, au teint allée, fan de lecture et de vieilles chansons a toujours rêvé d'avoir une grande famille. À notre naissance nos parents étaient les personnes les plus heureuses qu'ils puissent exister. Ils étaient heureux de pouvoir vivre ce bonheur de naissance et de grossesse à nouveau, c'est ainsi que moi Juliya je vis le monde. Mon enfance se passa merveilleusement bien, courant dans les rues de Vérone, chantant avec ma mère, jouant avec ma soeur et embêtant le plus mon père qui passait beaucoup de temps sur son travail. Mais à l'âge de cinq ans mon père reçut une promotion et nous fûmes obligés à partir en Amérique. Il retournait dans son pays natal et nous quittions le nôtre.
uc.

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